Nous voici au tournant de la campagne, au matin de ce 20 mars que nous préparons depuis de longues semaines. Nous avons tourné hier la dernière page de l’hiver de la pire façon qui soit, au bout d’une sale journée marquée par ce que l’homme peut faire de pire. Nous entamons cette première journée du printemps avec au cœur la volonté de faire ce que les hommes font parfois si bien : s’engager pour que le destin de tous soit meilleur.
Nous devons maintenant signifier à Nicolas Sarkozy son congé définitif. Il a beaucoup promis, il a failli sur tout. Sans vergogne il promet à nouveau, surfe sur les coups médiatiques et puise son inspiration à la droite de la droite. A celles et ceux que nous allons rencontrer nous ne manquerons pas de le dire.
Nous devons dire que placer sans l’ombre d’un doute François Hollande en tête du premier tour est nécessaire à la victoire. Nos 60 propositions sont celles que porte un homme qui s’est fixé comme devoir de les mettre en œuvre. Nous ne pouvons céder aux facilités de ceux qui n’auront jamais cette obligation. A celles et ceux que nous allons rencontrer nous ne manquerons pas de le dire.
Nous devons aller à la rencontre des tourangelles et des tourangeaux avec conviction, patience et méthode. Militants et volontaires, nous sommes conscient que l’effort qui est devant nous n’a pas de précédant. Femmes et hommes de devoir nous serons à la hauteur de l’enjeu : redresser notre pays et redonner tout son sens à la promesse républicaine. Cela aussi nous ne nous ne manquerons pas de le dire à celles et ceux que nous allons rencontrer.
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